Les Bains dérivatifs
On a remarqué que certains animaux ont tendance à tremper leur entrejambe dans l'eau fraîche et que cela a une action bienfaisante sur leur santé. Madame France Guillain a étudié la question et a découvert que cela permet d'aider le corps à se désenflammer. Et elle en a fait une méthode pour aider le corps à se maintenir en bonne santé.
J'effectue les bains dérivatifs selon la technique proposée par Madame Guillain et cela m'a beaucoup aidée concernant des difficultés de digestion. Je ne suis pas médecin, donc je ne peux pas vous en dire plus. Aussi, je vous propose de visiter le site Internet de France Guillain et de découvrir sa méthode : Bains dérivatifs et méthode France Guillain.
L'argile verte
Vous avez peut-être déjà entendu parler de l'argile verte et de ses vertus.
Il s'agit d'un produit naturel. Une poudre issue de la roche.
Les avis divergent concernant son efficacité. Personnellement, j'ai testé, et l'argile a eu des bienfaits extraordinaires sur ma santé en général.
Avant de vous procurer de l'argile verte et de commencer à la consommer, je vous encourage à vous renseigner sur ce produit et à émettre votre propre point de vue.
Si vous décidez de l'acheter, je vous conseille d'être vigilant concernant le prix de vente. Certaines enseignes la vendent à prix d'or, alors que cela n'est pas justifié. Personnellement, je l'achète au prix de CHF 10 à 13 le kg dans une droguerie.
Petites ou grandes dépendance?
Je fais la distinction entre les petites dépendances et les grandes dépendances :
Les grandes dépendances :
Il s'agit d'une maladie. La dépendance à une substance ou à une pratique (ex. : achats compulsifs, les écrans, le sexe ...) a pris le contrôle sur vous d'une manière dont vous n'êtes pas capable de vous en sortir par vos propres moyens. Il s'agit d'une atteinte à la santé. Pour vous soigner ou tenter de le faire, vous avez impérativement besoin d'un encadrement médical. Un simple travail émotionnel n'est pas suffisant. Vous devez être suivi par des médecins spécialisés dans le type d'addiction qui vous concerne. Parfois, un traitement médicamenteux ou d'autres mesures sont nécessaires.
Les petites dépendances :
Il s'agit de toutes ces petites addictions qui n'ont pas encore d'impact trop important dans notre vie. Oui, je prends du poids parce que je consomme trop de sucre. J'ai peut-être d'autres problèmes de santé en lien avec ce sucre, mais si je fais de grands efforts, j'arrive à prendre le contrôle sur la petite addiction. Parfois, je rechute et je recommence. Mais je n'ai pas nécessairement besoin d'un médecin pour freiner ou stopper ma consommation ou la pratique de cette activité.
Il ne s'agit pas encore d'une maladie, mais d'une compensation émotionnelle. Cela est directement lié à mon état émotionnel ou à une habitude acquise. En faisant un travail émotionnel, je serai plus à même de contrôler la petite addiction.
Mes conseils :
Faire le point sur ma situation : est-ce que j'ai un problème avec une substance ou une activité ? Reconnaître le problème est le premier pas en direction d'une amélioration. Questionner mes proches, qu'en pensent-ils ?
Petite ou grande dépendance ? Ai-je des difficultés à dire non à la consommation de quelque chose ? Cette pratique ou cette substance a-t-elle des conséquences sur ma santé, mes états d'être et ma vie en général (prise de poids, maladies liées, modification du comportement…) ? Ai-je déjà essayé de diminuer ou d'arrêter ma consommation ou ma pratique ?
Si je soupçonne une grande addiction, j'en parle dès que possible à mon médecin qui m'aiguillera sur la suite de la prise en charge du problème.
Si j'estime qu'il s'agit d'un problème que je peux tenter de freiner ou d'arrêter par mes propres moyens, je peux déjà commencer par faire un travail émotionnel.
Selon le type de petite addiction, je vous déconseille d'arrêter du jour au lendemain. Vous avez de forts risques de replonger et de reprendre vos anciennes habitudes. Parfois de manière plus forte qu'avant, car vous avez mis votre corps ou votre être en état de manque. Alors, je vous conseille de diminuer petit à petit la consommation ou la pratique.
S'il s'agit de la consommation ou de la pratique de quelque chose qui fait partie de nos quotidiens comme le sucre ou les écrans, je vous conseille de déterminer des jours ou des situations durant lesquels vous vous autorisez à consommer ou à pratiquer de manière raisonnable. Personnellement, j'ai tendance à consommer trop de sucre. J'ai un enfant et je n'ai pas envie de le priver de dessert ou de sucrerie. Mais je n'ai pas non plus envie que cet enfant développe, comme moi, un besoin de compenser avec le sucre. Alors, en accord avec lui, nous avons déterminé quels jours et à quel moment de la journée, on peut s'autoriser le sucre raffiné (ne concerne pas les fruits):
Les lundis, mardis, jeudis et vendredis : le sucre raffiné peut être consommé uniquement aux goûtés de fin d'après-midi (je laisse quand même mon enfant prendre une petite collation sucrée à la récréation). Mais pas de dessert après les repas afin de ne pas induire cette habitude de terminer les repas par du sucre.
Les mercredis, samedis et dimanches : pas de règle stricte. On se fait plaisir. On prend un dessert si on en a envie et plus encore.
Personnellement, je ne bois pas d'alcool. Je n'aime simplement pas le goût. Mais si vous estimez avoir une petite dépendance à l'alcool, mais que cela n'est pas encore au point de la maladie, je pense que ma technique devrait vous permettre de freiner votre consommation tout en vous permettant de vous faire plaisir : Boire un verre ou deux uniquement un jour de la semaine ou uniquement lors des événements festifs, mais pas en dehors.
Si vous constatez que vous n'arrivez pas à respecter les restrictions que vous vous êtes posées, il est peut-être nécessaire de vous demander si votre besoin de consommer ou de pratiquer n'a pas déjà atteint le stade de la grande dépendance. Auquel cas, consulter un médecin est impératif.
Sous l'emprise de la colère
Prenons comme exemple, une situation fréquente :
Vous êtes une femme. Vous avez eu une longue semaine de travail particulièrement stressante. Cela fait trois jours que l'un de vos enfants rencontre des difficultés à dormir. Cela fait donc trois jours que vous n'avez pas suffisamment dormi. Vous êtes épuisée. Nous sommes samedi. Votre conjoint travaille durant tout le week-end. Vos enfants sont encore petits. Alors, ils ne dorment pas le matin. Pas de grasse matinée pour vous ! Malgré votre fatigue, vous serez seule à gérer le ménage et la famille durant tout le week-end. Et pour couronner le tout, vous venez de commencer vos règles. Vos hormones s'en mêlent. Votre corps est lourd, sensible et douloureux. Votre humeur à fleur de peau. Et comme si ce n'était pas suffisant, vous devez courir après vos enfants pour qu'ils fassent leurs devoirs. Corriger les fautes de langage. Répéter encore et encore les mêmes consignes et supporter le bruit et les cris. Ainsi que gérer les besoins de chacun. Et bien sûr, faire tout cela en gardant son calme !
Voilà un scénario qui a de quoi mettre les nerfs à vif ! Et pourtant, cela n'a rien d'inhabituel pour la majorité des mères. Bien entendu, si on remplace les menstruations par une gêne ou une douleur physique passagère, cela peut aussi correspondre à une situation fréquemment rencontrée par certains hommes.
Gênes ou douleurs physiques, stress, manque de sommeil, épuisement, incapacité physique passagère… la liste peut être longue.
Leur point commun ? Ils ont tous le pouvoir de générer un sentiment de mal-être ou d'inconfort en nous qui influence notre état émotionnel.
Les conséquences :
Lorsque nous nous sentons inconfortables (peu importe la cause), nous rencontrons des difficultés à conserver une attitude socialement agréable. Cela vient titiller nos nerfs.
Dans les premiers temps, surtout en public, on arrive à prendre sur nous. Malgré l'énergie que cela nous demande, on continue à faire bonne figure.
Mais lorsque cet inconfort se poursuit sur plusieurs jours et parfois sur plusieurs semaines, on arrive au bout de nos résistances. Les nerfs sont à vif !
Et lorsque les nerfs sont à vif, les états émotionnels qui y sont liés sont :
Des tendances à la frustration et à la colère. On a tendance à se laisser emporter par le moindre petit détail qui ne se passe pas comme prévu ou qui demande de la patience et de la tolérance.
Par exemple :
Cela fait quatre fois que vous répétez le même mot à votre enfant. Et quelques minutes plus tard, il revient vers vous en vous demandant : " T'as dit que ça s'appelle comment ça déjà ?"🤨. Comme si les quatre dernières fois, sa tête était partie en vacances ! Pour vous, c'est la fois de trop, vous haussez la voix🤯. Le cumul d'inconfort et de situations difficiles à supporter dans le même laps de temps a eu raison de votre patience et de votre capacité à rester tolérant.
Alors que faisons-nous ?
1) Déterminer si j'ai un problème lié à la gestion de ma colère ou non.
Si je me mets régulièrement et très rapidement en colère alors que les circonstances ne l'expliquent pas, il est possible que j'aie des difficultés à gérer ma colère. Il est donc nécessaire que j'en prenne conscience. Après la prise de conscience, il faut se faire aider. En comprenant cette colère, il sera plus facile pour moi d'apprendre à la gérer.
Si je me mets en colère d'une manière disproportionnée, inappropriée ou maltraitante envers les autres, en ressentant le besoin de taper, de casser ou d'insulter, c'est qu'il y a un problème de gestion de la colère. Pas du point de vue de la fréquence, mais au niveau de l'intensité et de la manière de l'exprimer. Dans ce cas-là, il est nécessaire d'en prendre conscience et de se faire urgemment aider. Il s'agit de réactions graves qui peuvent avoir de lourdes conséquences pour moi et les autres.
Si ma colère est occasionnelle, en lien avec des circonstances exceptionnelles et que son intensité n'est pas disproportionnée, on ne peut pas estimer qu'il y a réellement un problème de gestion de la colère. Il faut aussi être tolérant avec soi-même et reconnaître que nous ne sommes pas des robots. Nous ne sommes pas parfaits. Nous sommes des humains, constitués d'émotions. Et nos environnements sont parfois extrêmement contraignants. Il est donc compréhensible que la frustration ou la colère puisse parfois prendre le dessus.
2) Que puis-je faire avant que la colère m'emporte ?
Avec le temps, on apprend à se connaître. On ressent ce mal-être et ce sentiment de frustration qui monte en nous. Lorsque vous prenez conscience de cette sensation physique, et avant que ça "pète", je vous propose d'essayer ces quelques petits trucs :
Se taire et s'isoler
Si vous le pouvez, arrêtez de parler et isolez-vous. Mais avant de vous éloigner, il est impératif d'expliquer aux personnes autour de vous (surtout aux enfants) ce qui se passe : ex : "Je suis désolé, je ne me sens pas très bien, j'ai besoin de calme. Ne sois pas surpris si je parle moins, je vais prendre un moment pour moi dans une autre pièce".
Ne rien dire pourrait envenimer la situation. Car les autres ne sont pas dans votre tête. Pour peu qu'ils n'aient pas remarqué votre état d'épuisement ou qu'ils ne fonctionnent pas comme vous, ils pourraient être perturbés par votre absence soudaine et sans explication.
Bien entendu, ce conseil est difficile à mettre en application si vous vous trouvez, par exemple, au travail. A vous de vous adapter au contexte. Au travail, vous pouvez peut-être faire une pause toilette afin de vous isoler quelques minutes.
Respirer trois fois profondément
Étant donné que la frustration et la colère sont difficiles à contrôler, il faut donc trouver un moyen de reprendre la main sur son état d'être. Contrôler sa respiration est une solution parmi d'autres. Il faudra peut-être répéter la technique plusieurs fois.
S'allonger
Il est fréquent que la sensation de colère s'accompagne d'une tension physique au niveau de la nuque. Si vous le pouvez, allongez-vous. Et même si vous n'avez pas de tension au niveau de la nuque, allongez-vous quand même ! Cette position aide à se calmer.
Si vous êtes seul avec des enfants en bas âge et qu'il faut les surveiller, trouvez un moyen pour vous allonger à côté d'eux. Faites-le plusieurs fois par tranches de 15 minutes. Vous verrez, ça aide beaucoup !
Se poser des questions
Est-ce que la personne ou la situation est vraiment responsable de ma colère ? Même si je ne sais pas pourquoi je suis en colère, généralement, je suis quand même en capacité de reconnaître que la personne ou la situation n'est qu'un élément énervant de mon environnement. Mais il n'est pas à l'origine de mon sentiment de colère, qui était déjà présent. La personne ou la situation représente le "doigt" qui vient appuyer sur le "bouton" colère afin d'essayer de l'actionner. Mais on ne peut pas actionner quelque chose d'inexistant ! Si vous arrivez à vous rappeler de vous poser cette question à chaque fois que quelqu'un ou quelque chose vous énerve, cela devrait vous aider à vous calmer.
Lâcher-prise pour relâcher la pression
Si votre situation est similaire à l'exemple présenté au début de cet article, je vous propose de lâcher-prise le plus que vous pouvez. Durant ces moments d'épuisement et de tension interne, nous avons de la peine à gérer notre quotidien aussi bien que d'habitude. On essaie, mais cela nous épuise encore plus.
Et c'est justement cela qu'il faut accepter :
JE-NE-SUIS-PAS-PARFAIT-ET-ENCORE-MOINS-AUJOURD'HUI. JE-NE-PEUX-PAS-FAIRE-PLUS !
D'ailleurs, chercher à être aussi impeccable que d'habitude, c'est le chemin le plus rapide pour atteindre l'explosion de sa colère.
Ne faites que le minimum. Durant cette journée ou ce week-end un peu tendu pour vous, c'est le moment de sortir vos repas congelés ou de vous autoriser à donner un repas moins équilibré que d'habitude à vos enfants. Ils ne mourront pas si, ce jour-là, vous leur servez une assiette de spaghettis au ketchup ! Les légumes, ce sera pour demain quand vous vous sentirez mieux ! Arrêtez momentanément de corriger les fautes de langage ou autres... faites une pause ! Et ce n'est pas grave, non plus, si ce jour-là, ils regardent un peu plus la télévision que d'habitude.
Si cela dure une journée ou deux, gardez en tête qu'un parent un peu plus laxiste sera préférable à un parent rigide qui explose de colère. Votre éventuel laxisme passager aura moins d'impact sur les états émotionnels de vos enfants. Si vous en avez l'occasion, expliquez-leur la situation. Les enfants acceptent plus facilement ce qu'ils comprennent.
Demander de l'aide
Si vous ressentez que vous êtes à deux doigts d'exploser, je vous encourage à contacter une personne de confiance de votre entourage.
2 possibilités se présentent à vous :
1) Parler quelques minutes avec cette personne. Vider son sac peut aider à relâcher la pression. Cette personne peut aussi vous aider à dédramatiser la situation ou à regarder les choses sous un autre angle.
2) Si vous avez des enfants, cette personne vient chez vous et vous aide à gérer la journée : prise en charge des repas, surveillance des devoirs, jeux avec les enfants… afin que vous puissiez vous isoler au calme le temps que cela passe.
Ce qui est déconseillé
Quittez le logement sans rien dire ou laissez des enfants en bas âge seuls dans le logement pendant un long laps de temps.
3) Que puis-je faire après avoir exprimé ma colère ?
Une fois le débordement passé, lorsque nous prenons conscience qu'on a laissé parler notre frustration ou notre colère, il est nécessaire de faire preuve d'intelligence émotionnelle. Parfois, cela demandera de ravaler son égo.
Comprendre ce qui s'est passé
Je reconnais que la situation ou le comportement de la personne était énervant, mais cela ne nécessitait pas que je crie ou que je m'exprime d'une manière agressive. Je me pardonne en acceptant que je n'arrive pas toujours à tout contrôler, y compris mes états d'être. La personne a peut-être exagéré ou la situation n'est pas normale. Mais ni l'une ni l'autre ne sont responsables de ma colère. Ma réaction n'aurait pas dû être celle que j'ai eue.
S'excuser
Une fois que j'ai compris ce qui s'est passé, je peux aller m'excuser. Mes excuses seront sincères, car j'ai compris ce qui s'est passé et je ne suis pas ou plus dans l'accusation envers l'autre. S'excuser demande du courage et de l'intelligence émotionnelle. Parce qu'à travers mes excuses, je reconnais que le seul responsable de mes réactions, c'est moi. Peu importe ce que l'autre a fait.
S'il s'agit d'un enfant, prenez le temps de lui expliquer ce qui s'est passé et pourquoi. Ne lui promettez pas que c'est la dernière fois. Au contraire, dites-lui que ce ne sera peut-être pas la dernière fois que vous vous mettrez fortement en colère. Expliquez-lui : " Je ne peux pas te promettre que cela ne m'arrivera plus parce que la colère est quelque chose de très difficile à contrôler, mais je vais faire des efforts pour que ça arrive le moins souvent possible. En tout cas, ce n'est pas de ta faute. Tu as fait une bêtise, il est normal que je te gronde, mais ce n'est pas de cette manière que j'aurais dû réagir. Je te présente mes excuses pour ma réaction qui était trop forte".
Rappelez également à l'enfant que se fâcher et se mettre fortement en colère sont deux choses différentes. C'est normal de se fâcher quand un enfant fait une bêtise. Quand on se fâche, la voix est peut-être moins douce et plus autoritaire que d'habitude, on ordonne les choses à la place de les demander… Mais si je hurle et je parle d'une manière agressive et parfois avec des mots pas très gentils, alors il s'agit de colère. Et il faut faire en sorte que cela arrive le moins souvent possible.
Se pardonner
Je trouve que le sujet de la colère est sensible. Cela n'a pas été évident pour moi d'écrire cet article. La colère est généralement quelque chose qui se constate dans le cadre intime et familial. En regardant ses collègues ou ses voisins, on aurait de la peine à croire qu'il s'agit peut-être d'une personne qui a tendance à se laisser emporter par la colère. Lorsque nous sommes en public, nous arrivons à contrôler une grande part de nos états émotionnels. Nous les contrôlons tellement bien, au nom de l'image sociale, que lorsque nous rentrons à la maison, on relâche la pression et on explose. Ce qui a été trop longtemps caché ou réprimé s'extériorise malgré nous, aux détriments de nos proches.
À travers cet article, mon but n'est pas de faire culpabiliser qui que ce soit. Je n'écris des articles que sur des problématiques que j'ai moi-même expérimentées, subies ou observées. Si je suis en capacité d'écrire sur le sujet, c'est que j'ai réussi à me pardonner et à pardonner aux autres. J'ai accepté l'idée que je ne suis qu'une humaine. En tant qu'humaine, j'ai fait du tort à certaines personnes et en tant qu'humains également, certaines personnes m'ont fait du tort. J'ai accepté que la vie sur terre n'a rien de facile. Au contraire. Il est donc normal que nous ayons des failles. Gardons aussi en tête que ce n'est pas parce que nous ne voyons pas les failles des autres que cela veut dire qu'ils n'en ont pas. De ce point de vue-là, nous sommes tous égaux. Tous imparfaits face à des environnements qui nous font croire que l'on doit être plus que ce que nous sommes. Alors faisons de notre mieux pour se respecter soi-même, respecter les autres et se faire respecter. Mais ne cherchons pas la perfection. Ne devenons pas des machines.